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Photo du rédacteurYoan ENDRES

Vente en viager en Suisse, derrière les clichés tenaces, une formule en essor constant !

Dans la conscience populaire, le fait de vendre son bien en viager renvoie à un concept à la fois flou et quelque peu sulfureux.


Flou parce qu’à part l’idée de céder son bien à un prix qui sera fonction de la durée de vie du vendeur-occupant, le concept reste nimbé d’un certain mystère.

Et sulfureux parce que tant du côté de l’acheteur – nous restons tous marqués par le destin pathétique du notaire de la doyenne Jeanne Calment, décédé deux ans avant sa cliente promise à vivre... 116 ans ! – que de celui du vendeur – qu’on imagine parfois objet d’une morbide spéculation de la part de son ou ses acquéreur(s) –, l’opération peut sembler aussi risquée financièrement que discutable éthiquement.



En dépit de ce déficit d’image, donc, le viager est une solution bien balisée par la pratique et par la loi, qui présente des avantages originaux et profitables aux deux parties. A tel point qu’il vaut décidément la peine de s’y intéresser lorsqu’on est un(e) retraité(e) dans la fourchette d’âge recommandée (entre 70 et 85 ans, idéalement) et qu’on souhaite rester dans son logement tout en profitant d’un petit revenu complémentaire régulier.


Car c’est bien là l’essence de la formule ! La vente en viager distingue en effet deux modalités cumulées de paiement du prix. Une partie est versée de manière traditionnelle, dira-t-on, au moment de l’acquisition : c’est le fameux « bouquet », s’élevant aux 20 ou 30 % de la valeur vénale, usuellement. Le solde –  la rente, donc – est acquitté de façon mensuelle, jusqu’au décès du ou des vendeur(s). Ceci, un peu à l’inverse d’un loyer, en quelque sorte, puisque c’est ici l’occupant des lieux (au bénéfice d’un droit réel restreint d’habitation ou d’usufruit, dans ce cas) qui profite de ces versements « perlés ».


Au-delà, de ces précisions conceptuelles, donc, un certain nombre de précautions sont mobilisable au moment de signer le contrat. Certaines sont relativement formatées, comme le fait de recourir à une société spécialisée, avec l’effet de dépersonnaliser opportunément la relation. Ou celui de fixer une durée minimale, voire maximale au contrat. D’autres, en revanche, sont plus étroitement liées aux spécificités du cas.


Tous ces aménagements ont en commun, cela dit, d’exiger un conseil pointu, fondé sur des échanges approfondis. Deux caractéristiques fortes, on le sait, de l’agence immobilier-NE.ch, qui s’est fait connaître pour la qualité et la dimension hautement personnalisée de ses prises en charge.


N’hésitez donc pas d’avantage : contactez-nous !



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